Le tribunal a décidé que le défendeur devra verser 1.000 euros de dommages et intérêts à chacune des trois associations de lutte contre l’homophobie dont la constitution de partie civile a été acceptée. Le défendeur a accusé le maire de corruption par l’autre partie au conflit, un Lord britannique. Papacito critique un arrêté municipal qu’il assimile à un “polycopié de pédé” et utilise un “champ lexical de tarlouze”, ainsi que des affirmations sur l’exécution des “déviants”, considérées par le parquet comme des insultes homophobes. L’avocat du défendeur a commenté la décision en la qualifiant de “mesurée” et envisage un éventuel appel.