Le thème sera étudié en lien avec le CESE « dans les prochains mois » et elle sera « lancée avant la fin de l’année », a ajouté Emmanuel Macron. « On peut tout à fait imaginer d’avoir des conventions d’initiative citoyenne », a également relevé le chef de l’Etat. L’aide à mourir sera réservée aux patients majeurs, nés en France ou résidant de longue date dans le pays, et en mesure d’exprimer clairement leur volonté.
Il faudra également ressentir des souffrances intolérables et impossibles à traiter, physiques ou psychologiques. Enfin, le pronostic vital devra être engagé à court ou moyen terme. À lire aussi: Sujets liés