Vendredi dernier, une journée de blocage et de mobilisation tumultueuse a eu lieu à Sciences Po Paris en présence de plusieurs députés LFI. Suite à des contestations pro-palestiniennes, l’établissement a promis d’organiser un débat interne et de suspendre les procédures disciplinaires contre les manifestants. En réaction à ces événements, d’autres crédits de fonctionnement, notamment destinés à la mobilité internationale, prévus pour le printemps et la rentrée, ont été suspendus par l’établissement. Cette décision a suscité des réactions de l’opposition régionale.
Par exemple, le groupe Socialiste, Écologiste et Radical (SER) a mentionné l’affaire du lycée Stanislas, pointant du doigt une supposée inégalité de traitement dans la suspension des subventions. Le Premier ministre, Gabriel Attal, a également demandé l’évacuation rapide de la Sorbonne, agissant de manière similaire à sa demande concernant Sciences Po lors des événements de vendredi. Il est important de noter que ces développements ont eu lieu dans un contexte de tensions et de mobilisations, et qu’ils continuent de susciter des débats.