Le sujet de discussion gravite autour du V16, suscitant l’envie d’imaginer un éventuel second modèle Bugatti. La question de la rentabilité d’un tel investissement se pose, surtout en considérant que la Tourbillon ne sera produite qu’à 250 exemplaires.
Heyl estime pourtant que c’est tout à fait possible moyennant le déplacement de certains éléments. Ainsi, se demande-t-on si Bugatti pourrait se lancer dans la préparation d’un coupé à moteur avant, qui posséderait une histoire riche, ou même une super-berline, comme plusieurs concepts l’ont imaginé au cours des 20 dernières années.
Nous espérons le découvrir sous peu.