Lucie Castets veut participer à la réunion de vendredi à l’Élysée, concernant les chefs de parti et les présidents des groupes parlementaires à l’Assemblée nationale et au Sénat. Cependant, elle ne détient aucun des postes requis, n’étant ni députée, ni chef de parti, ni présidente de groupe. Sa présence a été imposée par la coalition minoritaire du NFP, ce qui a été perçu comme un coup de force par Marine Le Pen. Marine Le Pen a récemment affirmé que le Rassemblement national déposerait une motion de censure pour renverser le futur gouvernement s’il incluait des membres de La France insoumise ou des Écologistes, une position partagée par certains dans les rangs macronistes.
L’entourage du président a répondu en fin de semaine que le président ne s’opposerait évidemment pas à cette demande collective si les forces politiques du NFP jugent que c’est utile pour que l’échange soit constructif.