Au départ, sa réception était mitigée, mais il a fini par rallier des alliés tels que la République tchèque, la Pologne et les États baltes. Certains observateurs estimaient que la question n’était plus de savoir si des soldats européens seraient déployés, mais quand, saluant ainsi une “rupture du tabou” et plaidant pour maintenir “l’ambiguïté stratégique” consistant à cacher à l’ennemi ce que l’on n’est pas prêt à faire.
Il a affirmé qu’il n’avait pas l’intention de créer les conditions ou de mettre en œuvre un tel projet, soulignant que c’était “sa position” et celle de son mouvement politique. À lire aussi