Lors d’une conférence de presse avec les autres chefs de groupe de gauche, le parlementaire a souligné la “légitimité collective” du Nouveau Front populaire pour “présider l’Assemblée” et la volonté de la gauche de “répondre aux difficultés du quotidien”. En tant qu’élu de la ruralité, il a également plaidé en faveur d’une “forme de pacification” dans une France “abîmée”.
Il a insisté sur le fait qu’il y a une volonté de faire obstacle à l’arrivée de l’extrême droite au pouvoir, ainsi que de discréditer la politique du président de la République. Il a affirmé que le président n’a pas les clés, et qu’ils allaient en faire la démonstration.
Le choix du candidat au poste de Premier ministre s’est fait malgré l’interruption des discussions.