Les enquêtes concernent “un ou d’éventuel(s) projet(s) d’action violente que ces jeunes gens auraient envisagé”, selon la même source. Le Pnat et les enquêteurs cherchent actuellement à “vérifier la réalité des projets au-delà des propos tenus sur internet et, le cas échéant, leur degré d’aboutissement”.
Sa garde à vue était toujours en cours jeudi. Il est entendu dans le cadre d’une enquête ouverte pour association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un ou plusieurs crimes d’atteintes aux personnes.
Selon le Parisien, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) avait repéré des messages postés sur des réseaux sociaux sécurisés. Le magistrat a également souligné qu’on “observe une nette évolution avec un rajeunissement très fort des personnes mises en cause pour préparation ou passage à l’acte terroriste”.
“Nous en avons eu une quinzaine sur l’année 2023 et nous sommes déjà à ce chiffre pour 2024”, a-t-il dit. À lire aussi