Décennie de Womanizer : « C’est ma drogue à moi »… Elles sont devenues accros au sextoy

Décennie de Womanizer : « C’est ma drogue à moi »… Elles sont devenues accros au sextoy

L’occasion de demander à nos lectrices et à nos lecteurs s’ils sont accros. – Si les femmes sont les seules à nous avoir répondu, toutes semblent dire que le Womanizer (ou ses petits copains) est aujourd’hui un incontournable de leurs nuits de folie. Aujourd’hui votre « vit » (en rose) c’est bibi, votre plaisir, ce n’est que lui. Parmi elles, certaines ne cachent pas leur addiction.

« Si je veux jouir rapidement et fort, je l’appelle à la rescousse. Mon copain le sait et si ça pouvait le vexer avant, ça ne le dérange plus. « C’est ma drogue à moi, le petit boost de plaisir qui fait que mes journées se passent bien », avoue-t-elle. Et pourtant, elle assure, qu’au départ, elle était de « celles qui n’auraient jamais osé en utiliser et qui imaginaient que les sextoys, c’était un truc de porno ou de fantasme masculin ».

Mais la soirée entre copines et le test « pour rigoler » ont eu raison de ses préjugés. « Ça a été une révélation. Depuis, je ne m’en passe plus et il m’arrive même de m’absenter aux toilettes du boulot pour me faire mon petit plaisir. Je ne pars pas en week-end sans, et j’en ai presque toujours un, discret, avec moi », précise notre lectrice qui nous livre l’inventaire de ses jouets « connectés et pour couple ».

Des appareils souvent à destination des femmes et développés autour du désormais célèbre « aspirateur à clito ». « Une sensation inégalée, avoue Anna. Ok, la langue, ok, les doigts… mais le Womanizer a ce truc en plus qui te fait décoller direct. »

Même constat de la part de notre autre lectrice, Jade : « le Womanizer ou comment avoir un orgasme en vingt secondes top chrono.

» Jade a « acheté le Womanizer à la suite à d’un reportage sur ses créateurs ». Un jouet aussitôt « testé et… approuvé ». « Il m’a permis de découvrir mon corps », poursuit notre lectrice, qui avoue que le sex-toy est « addictif ». Quant à Charlotte, elle a opté pour un Womanizer, « un peu comme une dernière chance » d’avoir un l’orgasme.

La jouissance était devenue difficile à atteindre et c’était, pour elle, « une source de stress de ne pas y arriver ». Avec son partenaire, elle décide donc « de tester un Womanizer »… et au premier date « déjà, c’était incroyable » : « un orgasme en trente secondes alors qu’il me fallait parfois cinquante minutes pour atteindre le 7e ciel. Source:
https://www.marieclaire.fr, Sophie Lambda.

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