Selon les premiers éléments de l’enquête, à laquelle contribue un anthropologue, il s’agit d’un os iliaque humain, un os large et plat constituant une partie du bassin, et d’un fémur. Selon une source proche de l’enquête, citée par Le Parisien, certains ossements présenteraient des traces de morsures. Les premières analyses menées par l’institut médico-légal de Paris ont déterminé que ces os proviennent d’un homme âgé entre 20 et 45 ans et dont la mort est survenue il y a moins de dix ans. À lire aussi Sujets liés